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Formations professionnelles en Addictologie

À distance ou en présentiel

Des formations sur mesure

Je construis avec vous une formation au plus près de vos besoins.

Une approche pragmatique

En proposant des solutions qui ont fait leurs preuves pour réduire les risques et les dommages.

Une solide expérience de terrain

Éducatrice spécialisée de formation initiale, j'ai travaillé près de 20 ans auprès d'un public souffrant d'addictions

Pourquoi se former en addictologie ?

Les questions des addictions sont au cœur de notre société et leur prise en compte par les équipes de terrain (travailleurs sociaux, professionnels de santé, médiateurs, animateurs, services de prévention, bénévoles…) est un enjeu majeur de l’accueil et de l’accompagnement. Les addictions concernent aussi bien la prise de produits, qu’ils soient licites (tabac, alcool, médicaments) ou illicites (cannabis, cocaïne, héroïne…) que les addictions comportementales (cyberaddiction, troubles alimentaires, jeux de hasard et d’argent, achats compulsifs…).

Dans les formations initiales en travail social et en santé, la question des addictions et de leur prise en charge est assez peu enseignée, ou alors sous forme d’ateliers thématiques qui n’apportent souvent qu’une connaissance parcellaire et souvent traitée sous le seul angle médical.

Les formations que je propose visent au développement de compétences psychosociales permettant de savoir repérer une addiction et de savoir comment l’aborder avec la personne concernée.  Il s’agit aussi de pouvoir orienter au mieux la personne en fonction de ses besoins et de ses capacités.

Se former aux questions d’addictologie permet d’améliorer la prise en charge des personnes concernées qu’il s’agisse de mise en œuvre de parcours de soins ou d’accompagnements visant à réduire les risques et les dommages liés aux consommations.

Il faut donc inviter tous les acteurs à se saisir de la question des addictions : citoyens, pouvoirs publics, monde du travail, de la culture, du sport, débitants de jeux, débitant de boissons, professionnels au contact de l’enfance, de l’adolescence, de jeunes adultes ou même de la personne âgée… Nous avons tous un rôle à jouer !

Zoom sur la Réduction Des Risques et des Dommages

La réduction des risques et des dommages (RDRD), sans nier le caractère illicite de certains usages, permet de considérer l’addiction comme une maladie chronique. Elle s’adresse également aux personnes non dépendantes dont les pratiques s’avèrent particulièrement dangereuses.
La RDRD est un concept qui fait aujourd’hui consensus dans le champ des addictions. Traduit de l’anglais « harm reduction of drug use », ce concept s’est d’abord appliqué à la politique de santé publique pour les usages de drogues illicites sous la formulation « réduction des risques » (RDR), mais la démarche qui se propose de limiter les conséquences nocives s’applique désormais à toutes les conduites addictives et à d’autres domaines, ailleurs que dans les centres médico-sociaux.
Inscrite dans la Loi de Santé Publique en 2016 (LOI n° 2016-41 du 26 janvier 2016 de modernisation de notre système de santé) la réduction des risques et des dommages se veut une approche pragmatique visant à réduire les conséquences de l’usage de drogues, ainsi que d’autres conduites à haut risque, en incorporant diverses stratégies traversant un spectre allant d’une consommation à moindre risque à l’abstinence, en passant par le contrôle de ses consommations ou de ses comportements dont le but est de diminuer les conséquences sur sa santé, son environnement, ses relations, son travail…
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